Revue du 25 novembre
J'essaie une nouvelle
façon de faire ma relecture de l'actualité. D'abord, je change le terme
«brèves» pour «revue», parce qu'en réalité, si mes interventions se voulaient
brèves, avec la mise en contexte, ce n'était plus vraiment «bref». Comment qualifier
quelque chose de bref un billet qui prend 2 pages dans Words? Ensuite, je veux
essayer de faire quelque chose de plus coulant, plutôt qu'un collage
d'interventions. Ironiquement, aujourd'hui, il n'y avait pas grand chose dans l'actualité
qui a attiré mon attention.
Tout de même, les conservateurs envisagent de couper davantage dans les
programmes environnementaux, spécialement ceux chargés de lutter contre les
changements climatiques (Corus).
Il n'y a plus de doute, les conservateurs ont réellement la cause des
changements climatiques à cœur. Pas parce que le danger est présent et que
l'avenir de nos enfants est hypothéqué, mais parce que les changements
climatiques démontrent que l'économie va très bien.
Le coureur automobile Alex
Zanardi retourne derrière le volant d'une formule 1 pour le compte de l'écurie
BMW (Canöe).
Ce qui est bien de l'actualité, c'est qu'on a l'occasion de pouvoir être témoin
de parcours personnels courageux. Zanardi a perdu ses deux jambes il y a
environ 5 ans et devient le premier amputé (de 2 jambes) à conduire une F1.
Les palestiniens de la
bande de Gaza auront peut-être un répit à partir de dimanche (Courrier
international). Malheureusement, il y aura probablement quelqu'un (ou
quelques-uns), dans le camp israélien ou palestinien, qui viendra brusquement
interrompre ce rare moment d'accalmie.
Finalement, Québec solidaire désire impliquer les communautés locales dans l'exploitation de l'énergie éolienne (Radio-Canada). Ce serait là une bonne idée pour à la fois «sauver» les régions et favoriser l'expansion de cette énergie verte, à condition que chacun mette de l'eau dans son vin, dont les citoyens qui devront négocier avec l'inconvénient du bruit. Je crois cependant que c'est un moindre mal pour beaucoup de biens, surtout que ce mal n'est pas absolument incontournable.