Mieux que ce que je pensais
Dans un message du 9
février, j’expliquais que je m’attendais à de moins bonnes notes à mon second
examen, dont j’avais oublié le devancement, qu’à mon premier. En réalité, je m’attendais
carrément à un échec. Pour l’une des questions, j’ai à peine donné deux lignes
de réponses sur une possibilité de douze, alors qu’à une autre, j’ai confondu
les institutions Anglaises avec celles de la France.
J’ai reçu mes résultats cette semaine et j’ai obtenu l’équivalent de 70%. C’est moins que les 93% de mon premier test, mais c’est largement au-dessus de mes attentes. Ça me rassure de savoir que j’ai réussi cet examen. La pression sera moins grande pour les prochaines évaluations.
Par ailleurs, j’ai commencé
ma recherche pour le cours L’Europe au temps
de la guerre de Cent Ans. C’était la première fois aujourd’hui que je
visitais la bibliothèque centrale de l’UQAM. Ça m’a prit une bonne vingtaine de
minutes avant de me repérer dans cette immense enceinte et de me familiariser
avec les outils de recherches. Pour le moment, il y a deux sujets généraux qui
m’intéressent : la prise de Calais par Édouard III en 1347 et la défaite
français à Azincourt en 1415. Pourquoi ces deux sujets ? Simplement car ce sont
les deux premiers à s’être présenter à moi lors de ma recherche
bibliographique. Si j’ai un intérêt pour l’époque de la guerre de Cent Ans, il
est plutôt global pour le moment. Je n’ai pas encore développé d’intérêt sur un
événement ou une situation précise, comme bien d’autres qui en sont à leur
deuxième ou troisième année d’étude à l’UQAM.
Pour mon autre cours, La ville au Moyen Âge, je compte baser
mes recherches sur Saint-Jean-de-Compostelle. Contrairement à la guerre de Cent
Ans, j’ai un intérêt particulier pour cette ville; je compte bien un jour m’y
rendre suite à un pèlerinage sur le Camino Francés. J’ai déjà lu deux ouvrages
sur le pèlerinage lui-même et qui m’ont donné un très bel aperçu de la riche
histoire entourant la ville de Compostelle. Selon mon professeur, je ne devrais
pas trop avoir de misère à cibler une problématique sur cette ville. Ce qui est bien plaisant à savoir.