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Chroniques de Gradlon
16 avril 2006

Google Earth

Depuis une semaine, environ, je découvre le logiciel Google Earth.

Comme je suis un auteur (littéraire et scénaristique), j'ai toujours besoin d'outils de références à porter de main, et lorsque ces outils sont informatiques, ça me facilite les choses. Pour remplacer l'encyclopédie papier, je me réfère souvent à Wikipedia. Ça ne remplace pas des outils de références en papiers pour les sujets précis. Si j'écrivais un roman ayant comme trame de fond la Bataille de L'Écluse, j'aurais besoin d'un bouquin spécialisé sur ce sujet à proximité de moi. Mais si j'ai besoin d'informations générales ou de pistes, je trouve en général ce que je cherche sur Wikipedia.

Lorsque j'écris, j'aime bien situé l'action à l'extérieur de mon charmant Québec natal, alors je me mets régulièrement le nez dans des cartes et des atlas. Mais je n'ai pas les moyens d'avoir des atlas et des cartes détaillés pour chaque recoin de la planète! Un atlas électronique m'est alors très utile. J'utilise souvent l'atlas Encarta et Google Maps (plus précis que Encarta, mais beaucoup moins étendu). Maintenant que j'ai découvert Google Earth, j'ai accès à encore plus d'informations. L'option qui me fascine le plus est évidement cet image satellite de la terre que l'on peut zoomer, presque à volonté pour les USA, mais tout de même suffisant pour le reste du globe. Viennent s'ajouter à ça des ajouts de la communauté Google Earth. Finalement, une chose que j'aime bien aussi, c'est la possibilité pour l'utilisateur d'ajouter ces propres annotations et points de repère, sans nécessairement les partager avec le reste de la communauté. Ça peut paraître égoïste comme philosophie, mais un auteur est généralement, et pour cause, réticent à ce que d'autres consultes ses notes.

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